Ion Fury

Alors que Shelly «Bombshell» Harrison a gagné son nom de code pour désamorcer des bombes pour la Global Defence Force, lorsque le mauvais cerveau transhumaniste Dr Jadus Heskel libère les membres de son culte cybernétique dans les rues de Neo DC, elle sait qu’il est temps de commencer à provoquer des explosions au lieu de prévenir leur. Sa quête pour tuer Heskel laisse une trace de carnage à travers d’énormes niveaux à plusieurs voies remplis d’explosions gigantesques, de zones plus secrètes que nous pouvons compter et d’ennemis inhumains derrière chaque coin de rue. Il n’y a pas de santé régénératrice ici; arrêtez de vous mettre à couvert et commencez à courir et à tirer.

La croisade de Shelly pour abattre l’armée de Heskel la verra quitter la destruction dans son sillage avec un large arsenal d’armes, avec des modes de tir alternatifs et différents types de munitions. Son revolver signature, le Loverboy à trois canons, apporte la douleur aux ennemis et le plaisir des joueurs avec des coups simples et une action de ventilation au marteau de style Old West. Qui a besoin d’un fusil de chasse ordinaire quand vous pouvez charger du buckshot dans votre lance-grenades?

Des bombes de bowling violentes et exagérées déchirent facilement les ennemis. Ion Fury se moque de l’idée de points de contrôle obligatoires et de chemins droits à travers les galeries de tir. Mais ce n’est pas parce que c’est un vrai jeu de tir à la première personne à l’ancienne que nous avons ignoré tous les bons nouveaux trucs apportés au cours des deux dernières décennies. Coups de tête? Enfer ouais.

Plus de physique et d’interactivité? Vous betcha. Écran large, prise en charge du contrôleur et sauvegardes automatiques? 3D Realms et Voidpoint ont pris le meilleur des deux mondes et ont tout cuit dans un ragoût sanglant.